Question de nacha
Bonjour, Car, que l'on soit l'aîné, l'enfant du milieu ou le cadet, l'enjeu est toujours : "Est-ce que mes parents m'aiment ? Est-ce que je compte pour eux ? L'aîné, enfant unique plus ou moins longtemps, s'est vu obligé de faire de la place au No 2. C'est aussi une source de souffrance, parfois très vivement ressentie par certains enfants. Comment faire pour que les rivalités, voire la jalousie, inévitables entre frères et soeurs se vivent de façon positive ?
On entend en effet dire que l'enfant du milieu a de la peine à trouver sa place au sein de la famille car il ne bénéficie ni des avantages de l'aîné, ni de ceux du petit, Mais on entend aussi des parents dire à quel point la naissance du troisième enfant a enrichi la famille et a sorti les deux aînés du jeu des comparaisons perpétuelles "C'est pas juste, il a reçu plus que moi ..."
Un conseil à adapter selon les âges : favoriser les moments privilégiés où, seul-e avec papa et/ou maman, chacun des enfants de la fratrie peut faire une activité adaptée à ses goûts. L'important est que chacun des enfants se sente apprécié pour lui-même, avec ses spécificités, quel que soit son rang dans la famille.