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Département de l’emploi, des affaires sociales et de la santé, Commission cantonale de la famille

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Enceinte et en surpoids. Une prise en charge innovante aux HUG

HUG - Hôpitaux Universitaires de Genève - Plusations Le programme Contrepoids® Maternité est issu d’une collaboration entre l’unité d’obstétrique à haut risque, sous la direction de la Pre Begoña Martinez de Tejada Weber, médecin-cheffe du service d'obstétrique, et le programme de soins Contrepoids®, conduit par la Dre Nathalie Farpour-Lambert, médecin adjointe agrégée. Il est financé par la Fondation privée des HUG. Ce nouveau programme vise à améliorer le suivi des femmes enceintes, obèses ou en surpoids dont la grossesse présente des risques importants, pour elles-mêmes et pour leur enfant à naître. Les futures mamans se voient proposer un programme personnalisé élaboré et animé par une équipe multidisciplinaire réunissant le service d’obstétrique et le service d’enseignement thérapeutique pour maladies chroniques. Le programme « Contrepoids® Maternité » est innovant en Suisse et dans le monde parce qu’il comprend une prise en charge combinée mère-enfant avec l’intervention d’un-e pédiatre avant la naissance, ainsi que dans la période post-partum dans le but de prévenir l’obésité infantile. Avec les expertises de : - Pre Begoña MARTINEZ DE TEJADA WEBER – Médecin-cheffe du Service d’obstétrique – HUG - Dre Martine CLAVER – Gynécologue – HUG - Aline GRANGIER – Physiothérapeute – HUG - Solange MULLER PINGET – Danse-thérapeute – HUG - Maude BESSAT – Diététicienne – HUG

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Même la mort a un prix !

Même la mort a un prix ! ABE-RTS - RTS - Radio Télévision Suisse - 2 nov. 2018 - Dans le monde du funéraire, à peu près rien n’est universel, à part la mort elle-même. La facture est-elle la même selon que vous exhalez votre dernier souffle à Genève ou en Valais ? ABE a enquêté auprès de nombreuses sociétés de pompes funèbres de Suisse romande et les réponses sont surprenantes. L’émission se penche aussi sur les démarches à entreprendre lors du décès d’un proche. ABE vous sert de guide dans ce dernier voyage. La mort : mode d’emploi Lors d’un décès, la famille est souvent surchargée par la quantité de démarches administratives à effectuer. Certaines d’entre elles peuvent être prises en charge par les pompes funèbres, moyennant finances. Il faut dans tous les cas prévoir des frais pour le transport du corps et l’achat d’un cercueil. Les coûts sont ensuite variables selon le type d’obsèques choisies par la famille. Les taxes d’incinération, d’une tombe varient aussi selon le lieu de résidence. La prévoyance funéraire De plus en plus de personnes préparent leurs funérailles avant leur décès pour éviter de trop lourdes démarches à leurs proches. Tous les services fournis par les pompes funèbres jusqu’à une annonce dans la presse peuvent être ainsi prévus et les montants provisionnés auprès d’une société de prévoyance. Prix de la mort: les résultats de l'enquête d'ABE Aujourd’hui, le plus courant c’est de déléguer toute l’organisation des obsèques à des sociétés de pompes funèbres, mais à quel prix ? Avec la complicité d’une jeune femme, ABE a mené l’enquête auprès de différentes entreprises spécialisées de Suisse romande, à raison de deux par canton, pour obtenir le devis le moins élevé pour un service avec incinération.

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Le harcèlement scolaire

ARTE Regards - 5 juil. 2023 L’école devrait être une oasis de solidarité et offrir aux enfants un climat propice à leur éducation et à leur développement. Mais entre marginalisation et harcèlement, le quotidien des élèves vire parfois au cauchemar. D’après l’ONU, un enfant sur trois est victime de harcèlement scolaire – un phénomène qui se traduit par des violences physiques ou psychologiques et qui reste très souvent invisible. En proie à un fort sentiment de honte et de culpabilité, les élèves se confient rarement à leurs parents, à leurs amis ou à leurs enseignants. Entre maladies psychiques et idées suicidaires, les séquelles du harcèlement poursuivent les victimes toute leur vie. En Espagne, le cas très médiatisé de Kira Lopez, une élève de 15 ans qui s’est donné la mort après avoir été harcelée, a mis en lumière l’ampleur du phénomène. Ses parents dénoncent les comportements qui ont conduit leur fille à mettre fin à ses jours et pointent du doigt l’apathie de l’établissement, contre lequel ils ont porté plainte. Selon eux, il incombe aux écoles de protéger les enfants contre le harcèlement. Brian Giner, atteint d’une malformation de l’œil, a lui aussi vécu l’enfer. Victime de harcèlement pendant une douzaine d’années, le jeune homme a changé d’école à plusieurs reprises. Il se souvient du sentiment de culpabilité qui l’envahissait : « J’ai longtemps considéré que le harcèlement était quelque chose de normal. Au fil des années, j’ai fini par croire ce qu’on me disait. Il m’a fallu beaucoup de temps avant de parvenir à regarder ma compagne dans les yeux, par exemple. Je souffrais surtout d’une véritable phobie sociale. J’avais peur de me présenter, d’être face à d’autres. L’idée que quelqu’un puisse établir un contact visuel avec moi me terrorisait. » Auteur d’un livre qui retrace son parcours douloureux, il souhaite désormais redonner du courage aux victimes de harcèlement. Pour ce faire, il intervient régulièrement dans les écoles, donne des conférences et organise des ateliers de prévention. Il milite également avec le père de Kira, Manuel José, en faveur d’une loi contre le harcèlement afin de mettre ce problème en lumière et de le combattre en profondeur. Les deux hommes demandent l'instauration de règles nationales qui permettraient d’uniformiser l’attitude à adopter face aux agresseurs et la documentation des cas de harcèlement dans l’ensemble des régions et des écoles espagnoles. Pour le père de Kira, ce serait la seule manière de parvenir à une forme d’apaisement. Reportage (Allemagne, 2023, 32mn)


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