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Les spécialistes du jeu sont pourtant unanimes: refuser de jouer en famille, c’est se priver d’un formidable moyen de se connecter à son enfant, de tisser une relation de confiance durable et de remplir son réservoir affectif. Pour Pascal Deru, c’est un cadeau qui permet de transmettre un message essentiel: «Porter cette attention particulière à l’enfant, ce geste gratuit, c’est lui dire qu’il a du prix à nos yeux, et c’est le meilleur viatique pour le faire avancer dans la vie». Le jeu est aussi un formidable laboratoire où l’enfant peut faire des expériences sans danger: «Si ma petite-fille triche dans un jeu, je commence par me réjouir intérieurement. A l’école, une sanction serait prévue, elle serait la cible des moqueries de ses camarades. Dans le cadre du jeu, on s’attaque à ce problème dans un climat de bienveillance».
Votre enfant a peur de rester seul: entre 2 et 5 ans, il vit une certaine ambivalence: d’une part, il aspire à de plus en plus d’indépendance et, durant la journée, il entreprend de nombreuses activités par lui-même; d’autre part, il devient toujours plus conscient de son attachement à vous. de sorte qu’il peut avoir peur de vous perdre. Il cherche donc votre présence, en particulier le soir, et souhaite que vous restiez avec lui jusqu’à ce qu’il s’endorme. Consacrez-lui beaucoup de temps le soir, mais encouragez-le à s’endormir seul. Laissez la lumière allumée dans le couloir s’il le désire et rassurez-le sur le fait que vous n’êtes pas loin. Si votre enfant vous entend tous les soirs vaquer aux mêmes occupations lorsque vous le quittez, ces bruits familiers l’aideront à s’endormir plus facilement.
Le pédopsychiatre Charles-Edouard Rengade, auteur d’un livre sur l’estime des parents (voir encadré), se veut rassurant envers les mères poules. «La surprotection est un faux problème. La mère est-elle heureuse d’être poule? L’important est qu’elle se sente en accord avec elle-même, cohérente dans son rôle. Sa manière de couver sera nuancée par sa personnalité, celle de son poussin et la relation tissée avec lui.» Si besoin, le père ou, à défaut, un tiers, pourra rétablir l’équilibre. Enfin, il faut faire confiance aux ressources de l’enfant.
Beaucoup d’enfants aiment «gazouiller» rien que pour eux, sans chercher à reproduire des mots. Ils imitent en cela les intonations qu’ils entendent autour d’eux. Ecoutez le vôtre lorsqu’il joue tout seul ou qu’il est éveillé, dans son lit. Vous reconnaissez-vous dans son babillage? Cela ne ressemble-t-il pas à votre façon de parler au téléphone ou de gronder le chien? A cet âge, les enfants adorent aussi imiter toutes sortes de bruits: avions, voitures, trains, mais aussi cris d’animaux. Ainsi l’animal évoqué est-il souvent désigné par son cri: «Ouah, ouah» pour le chien «cot, cot» pour la poule, etc.
Nul besoin d’être médecin pour savoir que les mutations de la voix marquent une phase importante dans la transformation de l’enfant en adolescent. A cette période, filles et garçons sont soumis à une évolution physique, mentale et psychologique caractérisée notamment par la mue. De façon plus marquée chez les garçons, le développement du larynx entraîne une oscillation de la voix entre les graves et les aigus, avant que celle-ci ne finisse par se stabiliser. Mais au-delà, nous pouvons nous demander quel rôle joue la voix dans le développement des enfants, qu’il s’agisse de la leur ou de celle de leurs proches.
cecei est l’extrait de la lettre du mercredi
Depuis juin 2014, l’école primaire de Chancy prépare la présentation de l’exposition sur l’eau et la forêt et profite de sa venue pour développer le sujet avec les élèves. Lors du choix des thèmes, il était important de préférer des sujets proches des enfants et de leur vécu, en lien avec les objectifs du Plan d’études romand (PER)
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